Bayan Rida

Le projet “Je t’appelle” aborde la question de la migration forcée des Syriens en explorant les différentes facettes des pertes auxquelles ils ont été confrontés dans leur quête de sécurité. Il reflète le parcours de la recherche d’une vie meilleure et les défis qu’ils rencontrent en chemin, y compris les risques liés à la traversée de la mer et de l’inconnu, la nostalgie du pays, et les promesses non tenues.

Les œuvres incluses dans le projet mettent en lumière l’impact profond de ces expériences sur l’être humain, et documentent la souffrance des personnes qui ont été contraintes de quitter leur vie derrière elles et de faire face à de multiples traumatismes dans leur tentative de survie.

Dans ce contexte, le projet peut également aborder des aspects tels que la perte émotionnelle, l’exil, et le sentiment de désorientation, renforçant ainsi la compréhension du public quant à la souffrance humaine qui se cache derrière les chiffres et les actualités sur la migration forcée. Ces œuvres peuvent exprimer la douleur, l’espoir, et le défi, invitant à réfléchir sur la dureté des conditions auxquelles sont confrontés les réfugiés.