À propos
inResidenza : « MÀ, une Pop sensible sous canopée électronique »
MÀ, c’est la croisée des mondes de deux artistes – Marie-Cécile Hanin et Pasqua Pancrazi – qui, au fur et à mesure de leurs rencontres, trouvent une vibration commune qui les amène à unir leur créativité et leurs savoir-faire.
MÀ puise son inspiration au Japon, dans cet art de vivre, de créer, qui consiste à trouver le juste milieu, la juste distance entre les choses, les êtres, les sons… Ni trop, ni trop peu.
Variations subjectives autour des notions de vide, d’espace, d’équilibre : Ici se situe MÀ.
Dans ce projet les mots, les textes comptent.
Les ressentis intimes se déploient en circonvolutions régulières pour s’étendre à des thèmes universels.
Des mots, comme des passerelles pour créer un lien entre les êtres, engendrer des secousses intérieures et nous amener à nous questionner sur le monde.
Impulser des vibrations. C’est ce que provoque les beats électroniques ici. Des ondes puissantes qui portent et diffusent les mots comme des électrochocs. Ça résonne vivement, ça circule et nous immerge. Et on se laisse porter par le flow.
MÀ, comme une éclosion qui met les sens en éveil et nous hisse vers la danse et le partage.
Entre Pop sensible, New-Wave et Électronica.
Production
Marie-Cécile Hanin : chant, clavier, basse, looper
Pasqua Pancrazi : machines, synthétiseurs